Chevauchant sa besace
Chevauchant sa besace
emplie de troubles et de fureurs
l'homme des fourches caudines
s'est épris du jour qui point.
L'endroit est instable
le corridor de la mort
prélève à jets circonpects
le miel des dernières levées.
De maintenir la machoire inférieure
de la pocharde griffue
envenime la situation
hors la courbure du temps.
Ne bougez plus
monstre des addictions
soyez la continuation des grillons de l'enfance
abaissez d'un cran le besoin de volupté.
En vociférant le nom des délices
les ergots sont la souffrance
des murailles étanches du repli
prairies bûtinées sans fleur sans raison.
De sourires point sous cette chappe
les mains suggèrent le col des origines
le soleil émiette ses secrets
il est temps de se lever de bonne heure.
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