Une seule pensée d'amour
Une seule pensée d'amour
En guise de bonheur
Et puis l'espace s'étendre
Aussi loin qu'être libre
Porte ouverte
Sur la vallée des arbres en fête
Décrire par le récit de notre vie
La suite des bontés
Cette assignation
À voir vrai.
La soif et la faim
Drapaient nos ventres plissés
Plus étranges encore
Que ces chouettes effarées
Clouées sur la porte des granges
Alors que scintillait dans la flamme des lampes
Notre offrande reprise
Au mépris d'une patience convenue
Qu'aucune armure ne pouvait recouvrir
Sans offenser les promesses d'antan.
D'un claquement de doigt
De blanches voiles recouvrirent d'incrustations
La partie brûlée du champ de mars
Pendant que passaient les cygnes à la voix mélodieuse
A contrario de la vision soutenue
D'une forêt à perte de vue
Echancrée de clairières
Aux puissants feux élevés
En respect de ceux qui nous gouvernent
Les hommes grands de l'Eveil requis.
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