
Se courbent
se cabrent
les molles ombres sable .
S'affolent
en tombée de nuit
les effluves lasses .
Monte des fossés
la main leste des remontrances
omniprésence des situations inachevées .
Portes coulissantes à l'avenant
dans l'embrasure
le chant des steppes ourdit la plainte .
Salissures engrangées
bonne pesée et duo infrangible
les bras s'allongent .
Cheveux en bataille
le simulacre des discordes
fait se lever les errants .
Ne déchirez pas
les...
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