
Le vent souffle ,
échine lasse ,
chante quelque part
l'oiseau des étreintes hivernales .
Je ne t'oublierai pas ,
tu ne m'oublieras pas ,
pour ensemble
dire merci à ceux qui nous extirpent,
nous les parapluies de la sortie de liturgie
à ne pas choir en fond de vasque ,
inhalant les odeurs de cuisine
mi-chèvre mi-choux
mi-reille mi-figue
jouant à colin maillard
d'une narine l'autre .
Il est permis de se dire
que même par temps de traîne
la poignée se dresse
en confiance...
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